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Freud_le_moi_et_le_ca.doc

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Sigmund Freud, “ Le moi et le ça ” (1923) 47 Sigmund FREUD (1923) “ Le moi et le ça ” Traduction de l’Allemand par le Dr. S. Jankélévitch en 1923 revue par l’auteur. Un document produit en version numérique par Gemma Paquet, bénévole, professeure à la retraite du Cégep de Chicoutimi Courriel: mgpaquet@videotron.ca dans le cadre de la collection: "Les classiques des sciences sociales" fondée dirigée par Jean-Marie Tremblay, professeur de sociologie au Cégep de Chicoutimi Site web: http://www.uqac.uquebec.ca/zone30/Classiques_des_sciences_sociales/index.html Une collection développée en collaboration avec la Bibliothèque Paul-Émile-Boulet de l'Université du Québec à Chicoutimi Site web: http://bibliotheque.uqac.uquebec.ca/index.htm Cette édition électronique a été réalisée par Gemma Paquet, bénévole, professeure à la retraite du Cégep de Chicoutimi à partir de : Sigmund Freud (1923) ““ Le moi et le ça ”” Une édition numériques réalisée à partir de l’essai “ Le moi et le ça ” publié dans l’ouvrage Essais de psychanalyse. Traduction de l’Allemand par le Dr. S. Jankélévitch en 1920, revue par l’auteur. Réimpression : Paris : Éditions Payot, 1968, (pp. 177 à 234), 280 pages. Collection : Petite bibliothèque Payot, n˚ 44. Traduction précédemment publiée dans la Bibliothèque scientifique des Éditions Payot. Polices de caractères utilisée : Pour le texte: Times, 12 points. Pour les citations : Times 10 points. Pour les notes de bas de page : Times, 10 points. Édition électronique réalisée avec le traitement de textes Microsoft Word 2001 pour Macintosh. Mise en page sur papier format LETTRE (US letter), 8.5’’ x 11’’) Édition complétée le 6 octobre 2002 à Chicoutimi, Québec. Table des matières “ Le moi et le ça ” Avant-propos 1. La conscience et l'inconscient 2. Le moi et le ça (es) 3. Le moi, le sur-moi et l'idéal du moi 4. Les deux variétés d'instincts 5. Les états de dépendance du moi Cet ouvrage, traduit par le Dr S. Jankélévitch, a été précédemment publié dans la « Bibliothèque Scientifique » des Éditions Payot, Paris. Cette nouvelle édition a été revue et mise au point par le Dr A. Hesnard pour la « Petite Bibliothèque Payot ». Celle nouvelle édition des « Essais de Psychanalyse » de FREUD reproduit le texte déjà traduit une première fois en langue française, avec une fidélité que n'altère pas et au contraire affirme une mise à jour terminologique, conforme à l'usage des termes que les psychanalystes français ont adopté. Cet essai traite des grandes lignes de la doctrine de FREUD concernant l'Inconscient et le rôle capital, dans la personnalité humaine, de la structure dite Sur-Moi (Ueber-ich), dont la psychanalyse actuelle s'efforce de différencier les éléments : Moi idéal et Idéal du Moi. Retour à la table des matières “ Le moi et le ça. ” Retour à la table des matières “ Le moi et le ça. ” 1 Avant-propos Retour à la table des matières Dans cet essai, je me propose de poursuivre le développement des considérations que j'avais esquissées dans Au-delà du principe du plaisir, en observant à leur égard la même attitude de curiosité bienveillante qui m'avait guidée, ainsi que je l'ai dit, lorsque j'écrivais ce dernier essai. Je reprends donc les mêmes idées, en les attachant à divers faits fournis par l'observation psychanalytique ; et je cherche à tirer de cette association entre les idées et les faits de nouvelles conclusions, sans toutefois recourir à de nouveaux emprunts à la biologie. Il en résulte que je reste ici plus près de la psychanalyse que dans Au-delà. Aussi, cet essai porte-t-il plutôt le caractère d'une synthèse que celui d'une spéculation et semble se poser un but assez élevé. Je me rends cependant compte qu'il ne va pas au-delà de certaines constatations très rudimentaires et j'accepte à l'avance le reproche qu'on pourrait m'adresser sur ce point. Il n'en reste pas moins que je touche ici à des questions qui n'ont pas encore fait l'objet d'une élaboration psychanalytique et que je suis obligé de m'occuper de certaines théories qui ont été formulées par des auteurs non-psychnalystes, ou par des psychanalystes ayant rompu avec la psychanalyse. Tout en étant disposé à toujours reconnaître ce que je dois à d'autres travailleurs, je dois cependant déclarer que, dans le cas particulier, je ne me sens redevable à personne de quoi que ce soit. Sil est des questions dont la psychanalyse ne s'est pas encore occupée, il faut en chercher la cause, non dans un parti-pris ou dans une attitude délibérément négative à l'égard de ces questions, mais dans le fait que le chemin qu'elle avait suivi jusqu'à présent ne l'avait pas encore mise en leur présence. Et aujourd'hui qu'elle est enfin arrivée à ce point, ces questions se présentent à elle sous un aspect qui diffère de celui sous lequel elles se présentent aux autres. “ Le moi et le ça. ” 1 La conscience et l’inconscient Retour à la table des matières Dans ce chapitre d'introduction, je n'ai rien de nouveau à dire et je ne puis guère éviter la répétition de ce que j'ai souvent eu l'occasion de dire précédemment. La division du psychique en un psychique conscient et un psychique inconscient constitue la prémisse fondamentale de la psychanalyse, sans laquelle elle serait incapable de comprendre les processus pathologiques, aussi fréquents que graves, de la vie psychique et de les faire rentrer dans le cadre de la science. Encore une fois, en d'autres termes : la psychanalyse se refuse à considérer la conscience comme formant l'essence même de la vie psychique, mais voit dans la conscience une simple qualité de celle-ci, pouvant coexister avec d'autres qualités ou faire défaut. Si je pouvais avoir l'illusion que tous ceux qui s'intéressent à la psychologie lisent cet essai, je m'attendrais certainement à ce que plus d'un lecteur, choqué par la place modeste que j'accorde à la conscience, me faussât compagnie dès cette première page et se refusât à poursuivre la lecture. Nous sommes ici, en effet, en présence du premier Schibboleth de la psychanalyse. La plupart des gens possédant une culture philosophique sont absolument incapables de comprendre qu'un fait psychique puisse n'être pas conscient, et ils repoussent cette idée comme absurde et en contradiction avec la saine et simple logique. Cela tient, à mon avis, à ce que ces gens n'ont jamais étudié les phénomènes de l'hypnose et du rêve qui, abstraction faite de ce qu'ils peuvent avoir de pathologique, nous imposent la manière de voir que je viens de formuler. En revanche, leur psychologie fondée sur l'omniprésence de la conscience, est incapable de résoudre les problèmes en rapport avec l'hypnose et le rêve. « Être conscient » est avant tout une expression purement descriptive et se rapporte à la perception la plus immédiate et la plus certaine. Mais l'expérience nous montre qu'un élément psychique, une représentation par exemple, n'est jamais conscient d'une façon permanente. Ce qui caractérise plutôt les éléments psychiques, c'est la disparition rapide de leur état conscient. Une représentation, consciente à un moment donné, ne l'est plus au moment suivant, mais peut le redevenir dans certaines conditions, faciles à réaliser. Dans l'intervalle, nous ignorons ce qu'elle est; nous pouvons dire qu'elle est latente, entendant par là qu'elle est capable à tout instant de devenir consciente. En disant qu'une représentation est restée, dans l'intervalle, inconsciente, nous formulons encore une définition correcte, cet état inconscient coïncidant avec l'état latent et l'aptitude à revenir à la conscience. Les philosophes nous adresseraient ici l'objection suivante : le terme inconscient ne se laisse pas appliquer dans le cas particulier, car aussi longtemps qu'une représentation se trouve à l'état latent, elle ne représente rien de psychique. Nous nous garderons bien de répondre quoi que ce soit à cette objection, car cela nous entraînerait dans une polémique purement verbale, à laquelle nous n'avons rien à gagner. Mais nous avons obtenu le terme ou la notion de l'inconscient en suivant une autre voie, et notamment en utilisant des expériences dans lesquelles intervient le dynamisme psychique. Nous avons appris ou, plutôt, nous avons été obligés d'admettre, qu'il existe d'intenses processus psychiques, ou représentations (nous tenons ici compte principalement du facteur quantitatif, c'est-à-dire économique), capables de se manifester par des effets semblables à ceux produits par d'autres représentations, voire par des effets qui, prenant à leur tour la forme de représentations, sont susceptibles de devenir conscients, sans que les processus eux-mêmes qui les ont produits le deviennent. Inutile de répéter ici en détail ce qui a été dit tant de fois. Qu'il nous suffise de rappeler que c'est en ce point qu'intervient la théorie psychanalytique, pour déclarer que si certaines représentations sont incapables de devenir conscientes, c'est à cause d'une certaine force qui s'y oppose ; que sans cette force elles pourraient bien devenir conscientes, ce qui nous permettrait de constater combien peu elles diffèrent d'autres éléments psychiques, officiellement reconnus comme tels. Ce qui rend cette théorie irréfutable, c'est qu'elle a trouvé dans la technique psychanalytique un moyen qui permet de vaincre la force d'opposition et d'amener à la conscience ces représentations inconscientes. À l'état dans lequel se trouvent ces représentations, avant qu'elles soient amenées à la conscience, nous avons donné le nom de refoulement; et quant à la force qui produit et maintient le refoulement, nous disons que nous la ressentons, pendant le travail analytique, sous la forme d'une résistance. Notre notion de l'inconscient se trouve ainsi déduite de la théorie du refoulement. Ce qui est refoulé, est pour nous le prototype de l'inconscient. Nous savons cependant qu'il existe deux variétés d'inconscient : les faits psychiques latents, mais susceptibles de devenir conscients, et les faits psychiques refoulés qui, comme tels et livrés à eux-mêmes, sont incapables d'arriver à la conscience. Notre manière d'envisager le dynamisme psychique ne peut pas rester sans influence sur la terminologie et la description. Aussi disons-nous que les faits psychiques latents, c'est-à-dire inconscients au sens descriptif, mais non dynamique, du mot, sont des faits préconscients, et nous réservons le nom d'inconscients aux faits psychiques refoulés, c'est-à-dire dynamiquement inconscients. Nous sommes ainsi en possession de trois termes : conscient, préconscient et inconscient, dont la signification n'est plus purement descriptive. Nous admettons que le préconscient se rapproche davantage du conscient que l'inconscient et, comme nous n'avons pas hésité à attribuer à ce dernier un caractère psychique, nous hésiterons d'autant moins à reconnaître ce caractère au préconscient, c'est-à-dire à ce qui est latent. Mais pourquoi ne suivrions-nous pas l'exemple des philosophes qui tracent une ligne de démarcation entre le préconscient et l'inconscient, d'une part, le conscient, de l'autre, ce qui paraît d'ailleurs très logique? Si nous le faisions, ces philosophes nous inviteraient alors à considérer le préconscient et l'inconscient comme deux variétés ou degrés du psychoïde. L'unité, il est vrai, se trouverait ainsi rétablie, mais nous nous heurterions, dans l'exposé des faits, à des difficultés sans fin, et le seul fait important, à savoir que ces psychoïdes coïncident sur presque tous les points avec ce qui est généralement reconnu comme psychique, se trouverait refoulé à l'arrière-plan, au profit d'un préjugé qui date de l'époque où ces psychoïdes étaient encore inconnus, dit moins dans ce qu'il ont d'essentiel. Or nos trois termes : conscient, préconscient, inconscient, sont faciles à manier et nous donnent une grande liberté de mouvements, à la condition de ne pas oublier que si, au point de vue descriptif, il y a deux variétés d'inconscient, il n'y en a qu'une seule, au point de vue dynamique. Dans certains cas, nous pouvons faire un exposé en négligeant cette distinction, mais dans d'autres elle est indispensable. Quoi qu'il en soit, nous sommes suffisamment habitués à ce double sens de l'inconscient et nous n'en avons jamais éprouvé une grande gêne. Il me paraît, en tout cas, inévitable. En ce qui concerne, enfin, la distinction entre le conscient et l'inconscient, elle se réduit à une simple question de perception, question qui comporte la réponse oui ou non, l'acte de la perception lui-même ne nous fournissant pas la moindre information sur les raisons pour lesquelles une chose est perçue ou non. On aurait tort de se plaindre de ce que le dynamisme psychique se manifeste toujours sous un double aspect (conscient et inconscient)  Voir à ce sujet Bemerkungen über den Begrift des Unbewussten, dans «Sammlung Kleiner Schriften zur Neurosenlehre », 4e Série. Il convient de signaler une nouvelle orientation dans la critique de l'inconscient. Certains auteurs qui, tout en consentant à reconnaître les faits psychanalytiques, se refusent à admettre l'inconscient, ont recours à cet argument irréfutable que la conscience elle-même, en tant que phénomène, présente de nombreux degrés d'intensité et de clarté. De même qu'il y a des processus dont nous avons une conscience vivre, frappante, autant dire concrète, il en est d'autres dont nous avons une conscience faible, à peine perceptible ; et, ajoutent ces auteurs, les processus dont nous avons la conscience la plus faible sont précisément ceux auxquels la psychanalyse applique improprement la qualification d'inconscients, alors qu'en réalité ils seraient conscients quand même ou, tout au moins, demeureraient « dans la conscience », capables, si on leur prête une attention suffisante, de devenir pleinement et intensément conscients. Pour autant que des arguments puissent jouer un rôle quelconque dans la solution d'une question qui, comme celle qui nous occupe, dépend étroitement de conventions ou de facteurs affectifs, nous dirons ceci : conclure du fait que la conscience présente une échelle de netteté et de clarté à l'inexistence de l'inconscient équivaut à affirmer la non-existence de l'obscurité, parce que la lumière présente toutes les gradations, depuis l'éclairage le plus cru jusqu'aux lueurs les plus atténuées, à peine perceptibles, ou à tirer des innombrables degrés de vitalité un argument en faveur de la non-existence de la mort. Ces raisonnements peuvent, jusqu'à un certain point, être ingénieux, mais ils sont dépourvus de toute valeur pratique, ce dont on ne tarde pas à se rendre compte dès qu'on veut en tirer certaine
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