ImageVerifierCode 换一换
格式:DOC , 页数:6 ,大小:153KB ,
资源ID:7804570      下载积分:10 金币
验证码下载
登录下载
邮箱/手机:
验证码: 获取验证码
温馨提示:
支付成功后,系统会自动生成账号(用户名为邮箱或者手机号,密码是验证码),方便下次登录下载和查询订单;
特别说明:
请自助下载,系统不会自动发送文件的哦; 如果您已付费,想二次下载,请登录后访问:我的下载记录
支付方式: 支付宝    微信支付   
验证码:   换一换

开通VIP
 

温馨提示:由于个人手机设置不同,如果发现不能下载,请复制以下地址【https://www.zixin.com.cn/docdown/7804570.html】到电脑端继续下载(重复下载【60天内】不扣币)。

已注册用户请登录:
账号:
密码:
验证码:   换一换
  忘记密码?
三方登录: 微信登录   QQ登录  
声明  |  会员权益     获赠5币     写作写作

1、填表:    下载求助     留言反馈    退款申请
2、咨信平台为文档C2C交易模式,即用户上传的文档直接被用户下载,收益归上传人(含作者)所有;本站仅是提供信息存储空间和展示预览,仅对用户上传内容的表现方式做保护处理,对上载内容不做任何修改或编辑。所展示的作品文档包括内容和图片全部来源于网络用户和作者上传投稿,我们不确定上传用户享有完全著作权,根据《信息网络传播权保护条例》,如果侵犯了您的版权、权益或隐私,请联系我们,核实后会尽快下架及时删除,并可随时和客服了解处理情况,尊重保护知识产权我们共同努力。
3、文档的总页数、文档格式和文档大小以系统显示为准(内容中显示的页数不一定正确),网站客服只以系统显示的页数、文件格式、文档大小作为仲裁依据,个别因单元格分列造成显示页码不一将协商解决,平台无法对文档的真实性、完整性、权威性、准确性、专业性及其观点立场做任何保证或承诺,下载前须认真查看,确认无误后再购买,务必慎重购买;若有违法违纪将进行移交司法处理,若涉侵权平台将进行基本处罚并下架。
4、本站所有内容均由用户上传,付费前请自行鉴别,如您付费,意味着您已接受本站规则且自行承担风险,本站不进行额外附加服务,虚拟产品一经售出概不退款(未进行购买下载可退充值款),文档一经付费(服务费)、不意味着购买了该文档的版权,仅供个人/单位学习、研究之用,不得用于商业用途,未经授权,严禁复制、发行、汇编、翻译或者网络传播等,侵权必究。
5、如你看到网页展示的文档有www.zixin.com.cn水印,是因预览和防盗链等技术需要对页面进行转换压缩成图而已,我们并不对上传的文档进行任何编辑或修改,文档下载后都不会有水印标识(原文档上传前个别存留的除外),下载后原文更清晰;试题试卷类文档,如果标题没有明确说明有答案则都视为没有答案,请知晓;PPT和DOC文档可被视为“模板”,允许上传人保留章节、目录结构的情况下删减部份的内容;PDF文档不管是原文档转换或图片扫描而得,本站不作要求视为允许,下载前自行私信或留言给上传者【pc****0】。
6、本文档所展示的图片、画像、字体、音乐的版权可能需版权方额外授权,请谨慎使用;网站提供的党政主题相关内容(国旗、国徽、党徽--等)目的在于配合国家政策宣传,仅限个人学习分享使用,禁止用于任何广告和商用目的。
7、本文档遇到问题,请及时私信或留言给本站上传会员【pc****0】,需本站解决可联系【 微信客服】、【 QQ客服】,若有其他问题请点击或扫码反馈【 服务填表】;文档侵犯商业秘密、侵犯著作权、侵犯人身权等,请点击“【 版权申诉】”(推荐),意见反馈和侵权处理邮箱:1219186828@qq.com;也可以拔打客服电话:4008-655-100;投诉/维权电话:4009-655-100。

注意事项

本文(【法语天堂论坛】法语故事之灰姑娘.doc)为本站上传会员【pc****0】主动上传,咨信网仅是提供信息存储空间和展示预览,仅对用户上传内容的表现方式做保护处理,对上载内容不做任何修改或编辑。 若此文所含内容侵犯了您的版权或隐私,请立即通知咨信网(发送邮件至1219186828@qq.com、拔打电话4008-655-100或【 微信客服】、【 QQ客服】),核实后会尽快下架及时删除,并可随时和客服了解处理情况,尊重保护知识产权我们共同努力。
温馨提示:如果因为网速或其他原因下载失败请重新下载,重复下载【60天内】不扣币。 服务填表

【法语天堂论坛】法语故事之灰姑娘.doc

1、CendrillonIl tait une fois un gentilhomme qui pousa en secondes noces une femme, la plus hautaine et la plus fire quon et jamais vue. Elle avait deux filles de son humeur, et qui lui ressemblaient en toutes choses. Le mari avait de son ct une jeune fille, mais dune douceur et dune bont sans exemple;

2、 elle tenait cela de sa mre, qui tait la meilleure femme du monde. Les noces ne furent pas plus tt faites, que la belle-mre fit clater sa mauvaise humeur; elle ne put souffrir les bonnes qualits de cette jeune enfant, qui rendaient ses filles encore plus hassables. Elle la chargea des plus viles occ

3、upations de la maison: ctait elle qui nettoyait la vaisselle et les montes, qui frottait la chambre de madame, et celles de mesdemoiselles ses filles. Elle couchait tout en haut de la maison, dans un grenier, sur une mchante paillasse, pendant que ses surs taient dans des chambres parquetes, o elles

4、 avaient des lits des plus la mode, et des miroirs o elles se voyaient depuis les pieds jusqu la tte. La pauvre fille souffrait tout avec patience, et nosait sen plaindre son pre qui laurait gronde, parce que sa femme le gouvernait entirement. Lorsquelle avait fait son ouvrage, elle sen allait au co

5、in de la chemine, et sasseoir dans les cendres, ce qui faisait quon lappelait communment dans le logis Cucendron. La cadette, qui ntait pas si malhonnte que son ane, lappelait Cendrillon; cependant Cendrillon, avec ses mchants habits, ne laissait pas dtre cent fois plus belle que ses surs, quoique v

6、tues trs magnifiquement. Il arriva que le fils du roi donna un bal, et quil y invita toutes les personnes de qualit: nos deux demoiselles en furent aussi invites, car elles faisaient grande figure dans le pays. Les voil bien aises et bien occupes choisir les habits et les coiffures qui leur siraient

7、 le mieux; nouvelle peine pour Cendrillon, car ctait elle qui repassait le linge de ses surs et qui godronnait leurs manchettes: on ne parlait que de la manire dont on shabillerait. -Moi, dit lane, je mettrai mon habit de velours rouge et ma garniture dAngleterre. -Moi, dit la cadette, je naurai que

8、 ma jupe ordinaire; mais par contre, je mettrai mon manteau fleurs dor, et ma barrire de diamants, qui nest pas des plus indiffrentes.On envoya chercher la bonne coiffeuse, pour dresser les cornettes deux rangs, et on fit acheter des mouches de la bonne faiseuse : elles appelrent Cendrillon pour lui

9、 demander son avis, car elle avait bon got. Cendrillon les conseilla le mieux du monde, et soffrit mme les coiffer; ce quelles voulurent bien. En les coiffant, elles lui disaient: -Cendrillon, serais-tu bien aise daller au bal ? -Hlas, mesdemoiselles, vous vous moquez de moi, ce nest pas l ce quil m

10、e faut. - Tu as raison, on rirait bien si on voyait un cucendron aller au bal. Une autre que Cendrillon les aurait coiffes de travers; mais elle tait bonne, et elle les coiffa parfaitement bien. Elles furent prs de deux jours sans manger, tant elles taient emplies de joie. On rompit plus de douze la

11、cets force de les serrer pour leur rendre la taille plus menue, et elles taient toujours devant leur miroir.Enfin lheureux jour arriva, on partit, et Cendrillon les suivit des yeux le plus longtemps quelle put; lorsquelle ne les vit plus, elle se mit pleurer. Sa marraine, qui la vit toute en pleurs,

12、 lui demanda ce quelle avait : -Je voudrais bien. je voudrais bien. Elle pleurait si fort quelle ne put achever. Sa marraine, qui tait fe, lui dit: -Tu voudrais bien aller au bal, nest-ce pas ? -Hlas oui dit Cendrillon en soupirant. -H bien, seras-tu bonne fille ? dit sa marraine, je ty ferai aller.

13、 Elle la mena dans sa chambre, et lui dit : -Va dans le jardin et apporte-moi une citrouille. Cendrillon alla aussitt cueillir la plus belle quelle put trouver, et la porta sa marraine, ne pouvant deviner comment cette citrouille pourrait la faire aller au bal. Sa marraine la creusa, et nayant laiss

14、 que lcorce, la frappa de sa baguette, et la citrouille fut aussitt change en un beau carrosse tout dor.Ensuite elle alla regarder dans sa souricire, o elle trouva six souris toutes en vie ; elle dit Cendrillon de lever un peu la trappe de la souricire, et chaque souris qui sortait, elle lui donnait

15、 un coup de sa baguette, et la souris tait aussitt change en un beau cheval; ce qui fit un bel attelage de six chevaux, dun beau gris de souris pommel. Comme elle tait en peine de quoi elle ferait un cocher: -Je vais voir, dit Cendrillon, sil ny a point quelque rat dans la ratire, nous en ferons un

16、cocher. -Tu as raison, dit sa marraine va voir. Cendrillon lui apporta la ratire, o il y avait trois gros rats. La fe en prit un dentre les trois, cause de sa matresse barbe, et layant touch, il fut chang en un gros cocher, qui avait une des plus belles moustaches quon ait jamais vues. Ensuite elle

17、lui dit: -Va dans le jardin, tu y trouveras six lzards derrire larrosoir, apporte-les-moi. Elle ne les eut pas plus tt apports, que la marraine les changea en six laquais, qui montrent aussitt derrire le carrosse avec leurs habits chamarrs, et qui sy tenaient accrochs, comme sils neussent fait autre

18、 chose toute leur vie.La fe dit alors Cendrillon : -H bien, voil de quoi aller au bal, nes-tu pas bien aise? -Oui, mais est-ce que jirai comme a avec mes vilains habits? Sa marraine ne fit que la toucher avec sa baguette, et en mme temps ses habits furent changs en des habits de drap dor et dargent

19、tout chamarrs de pierreries; elle lui donna ensuite une paire de pantoufles de verre, les plus jolies du monde. Quand elle fut ainsi pare, elle monta en carrosse; mais sa marraine lui recommanda instamment de ne pas dpasser minuit, lavertissant que si elle demeurait au bal un moment de plus, son car

20、rosse redeviendrait citrouille, ses chevaux des souris, ses laquais des lzards, et que ses vieux habits reprendraient leur premire forme. Elle promit sa marraine quelle ne manquerait pas de sortir du bal avant minuit. Elle part, ne se sentant pas de joie.Le fils du roi, quon alla avertir quil venait

21、 darriver une grande princesse quon ne connaissait point, courut la recevoir; il lui donna la main la descente du carrosse, et la mena dans la salle o tait la compagnie. Il se fit alors un grand silence; on cessa de danser, et les violons ne jourent plus, tant on tait attentif contempler les grandes

22、 beauts de cette inconnue. On nentendait quun bruit confus: -Ha, quelle est belle! Le roi mme, tout vieux quil tait, ne lassait pas de la regarder, et de dire tout bas la reine quil y avait longtemps quil navait vu une si belle et si aimable dame. Toutes les dames taient attentives considrer sa coif

23、fure et ses habits, pour en avoir ds le lendemain de semblables, pourvu quil se trouvt des toffes assez belles, et des ouvriers assez habiles. Le fils du roi la mit la place dhonneur, et ensuite la prit pour la mener danser: elle dansa avec tant de grce, quon ladmira encore davantage. On apporta une

24、 fort belle collation, dont le jeune prince ne mangea point, tant il tait occup la contempler.Elle alla sasseoir auprs de ses surs, et leur fit mille honntets: elle leur fit part des oranges et des citrons que le Prince lui avait donns, ce qui les tonna fort, car elles ne la connaissaient point. Lor

25、squelles causaient ainsi, Cendrillon entendit sonner onze heures trois quarts: elle fit aussitt une grande rvrence la compagnie, et sen alla le plus vite quelle put. Ds quelle fut arrive, elle alla trouver sa marraine, et aprs lavoir remercie, elle lui dit quelle souhaiterait bien aller encore le le

26、ndemain au bal, parce que le fils du roi len avait prie. Comme elle tait occupe raconter sa marraine tout ce qui stait pass au bal, les deux surs frapprent la porte; Cendrillon alla leur ouvrir: -Que vous avez mis longtemps revenir! leur dit-elle en billant, en se frottant les yeux, et en stendant c

27、omme si elle net fait que de se rveiller; elle navait cependant pas eu envie de dormir depuis quelles staient quittes. -Si tu tais venue au bal, lui dit une de ses surs, tu ne ty serais pas ennuye: il y est venu la plus belle princesse, la plus belle quon puisse jamais voir; elle nous a fait mille c

28、ivilits, elle nous a donn des oranges et des citrons.Cendrillon ne se sentait pas de joie: elle leur demanda le nom de cette princesse; mais elles lui rpondirent quon ne la connaissait pas, que le fils du roi en tait fort en peine, et quil donnerait toutes choses au monde pour savoir qui elle tait.

29、Cendrillon sourit et leur dit: -Elle tait donc bien belle? Mon Dieu, que vous tes heureuses, ne pourrais-je point la voir? Hlas! Mademoiselle Javotte, prtez-moi votre habit jaune que vous mettez tous les jours. -Vraiment, dit Mademoiselle Javotte,je suis de cet avis! Prtez votre habit un vilain cuce

30、ndron comme cela, il faudrait que je fusse bien folle. Cendrillon sattendait bien ce refus, et elle en fut bien aise, car elle aurait t grandement embarrasse si sa sur et bien voulu lui prter son habit. Le lendemain les deux surs furent au bal, et Cendrillon aussi, mais encore plus pare que la premi

31、re fois. Le fils du roi fut toujours auprs delle, et ne cessa de lui conter des douceurs; la jeune demoiselle ne sennuyait point, et oublia ce que sa marraine lui avait recommand; de sorte quelle entendit sonner le premier coup de minuit, lorsquelle ne croyait pas quil ft encore onze heures: elle se

32、 leva et senfuit aussi lgrement quaurait fait une biche.Le prince la suivit, mais il ne put lattraper; elle laissa tomber une de ses pantoufles de verre, que le prince ramassa bien soigneusement. Cendrillon arriva chez elle bien essouffle, sans carrosse, sans laquais, et avec ses mchants habits, rie

33、n ne lui tant rest de toute sa magnificence quune de ses petites pantoufles, la pareille de celle quelle avait laisse tomber. On demanda aux gardes de la porte du palais sils navaient point vu sortir une princesse; ils dirent quils navaient vu sortir personne, quune jeune fille fort mal vtue, et qui

34、 avait plus lair dune paysanne que dune demoiselle. Quand ses deux surs revinrent du bal, Cendrillon leur demanda si elles staient encore bien diverties, et si belle dame y avait t. Elles lui dirent que oui, mais quelle stait enfuie lorsque minuit avait sonn, et si promptement quelle avait laiss tom

35、ber une de ses petites pantoufles de verre, la plus jolie du monde; que le fils du roi lavait ramasse, et quil navait fait que la regarder pendant tout le reste du bal, et quassurment il tait fort amoureux de la belle dame qui appartenait la petite pantoufle.Elles dirent vrai, car peu de jours aprs,

36、 le fils du roi fit publier son de trompe quil pouserait celle dont le pied serait bien juste la pantoufle. On commena lessayer aux princesses, ensuite aux duchesses, et toute la cour, mais inutilement. On la porta chez les deux surs, qui firent tout leur possible pour faire entrer leur pied dans la

37、 pantoufle, mais elles ne purent en venir bout. Cendrillon qui les regardait, et qui reconnut sa pantoufle, dit en riant : -Que je voie si elle ne me serait pas bonne! Ses surs se mirent rire et se moquer delle. Le gentilhomme qui faisait lessai de la pantoufle, ayant regard attentivement Cendrillon

38、, et la trouvant fort belle, dit que cela tait juste, et quil avait ordre de lessayer toutes les filles. Il fit asseoir Cendrillon, et approchant la pantoufle de son petit pied, il vit quelle y entrait sans peine, et quelle y tait juste comme de cire. Ltonnement des deux surs fut grand, mais plus gr

39、and encore quand Cendrillon tira de sa poche lautre petite pantoufle quelle mit son pied.L-dessus arriva la marraine qui, ayant donn un coup de sa baguette sur les habits de Cendrillon, les fit devenir encore plus magnifiques que tous les autres. Alors ses deux surs la reconnurent pour la belle dame

40、 quelles avaient vue au bal. Elles se jetrent ses pieds pour lui demander pardon de tous les mauvais traitements quelles lui avaient fait souffrir. Cendrillon les releva, et leur dit, en les embrassant, quelle leur pardonnait de bon cur, et quelle les priait de laimer bien toujours. On la mena chez le jeune prince, pare comme elle tait: il la trouva encore plus belle que jamais, et peu de jours aprs il lpousa. Cendrillon, qui tait aussi bonne que belle, fit loger ses deux surs au palais, et les maria ds le jour mme deux grands seigneurs de la cour.

移动网页_全站_页脚广告1

关于我们      便捷服务       自信AI       AI导航        获赠5币

©2010-2025 宁波自信网络信息技术有限公司  版权所有

客服电话:4008-655-100  投诉/维权电话:4009-655-100

gongan.png浙公网安备33021202000488号   

icp.png浙ICP备2021020529号-1  |  浙B2-20240490  

关注我们 :gzh.png    weibo.png    LOFTER.png 

客服