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UNEPARTIEDECAMPAGNE.doc

1、UNE PARTIE DE CAMPAGNE     On avait projeté depuis cinq mois d'aller déjeuner aux environs de Paris, le jour de la fête de Mme Dufour, qui s'appelait Pétronille. Aussi, comme on avait attendu cette partie impatiemment, s'était-on levé de fort bonne heure ce matin-là.     M. Dufour, ayant emprunté

2、 la voiture du laitier, conduisait lui-même. La carriole, à deux roues, était fort propre ; elle avait un toit supporté par quatre montants de fer où s'attachaient des rideaux qu'on avait relevés pour voir le paysage. Celui de derrière, seul, flottait au vent, comme un drapeau. La femme, à côté de s

3、on époux, s'épanouissait dans une robe de soie cerise extraordinaire. Ensuite, sur deux chaises, se tenaient une vieille grand-mère et une jeune fille. On apercevait encore la chevelure jaune d'un garçon qui, faute de siège, s'était étendu tout au fond, et dont la tête seule apparaissait.     Après

4、 avoir suivi l'avenue des Champs-Élysées et franchi les fortifications à la porte Maillot, on s'était mis à regarder la contrée.     En arrivant au pont de Neuilly, M. Dufour avait dit : " Voici la campagne enfin ! " et sa femme, à ce signal, s'était attendrie sur la nature.     Au rond-point de C

5、ourbevoie, une admiration les avait saisis devant l'éloignement des horizons. A droite, là-bas, c'était Argenteuil, dont le clocher se dressait ; au-dessus apparaissaient les buttes de Sannois et le Moulin d'Orgemont. A gauche, l'aqueduc de Marly se dessinait sur le ciel clair du matin, et l'on aper

6、cevait aussi, de loin, la terrasse de Saint-Germain ; tandis qu'en face, au bout d'une chaîne de collines, des terres remuées indiquaient le nouveau fort de Cormeilles. Tout au fond, dans un reculement formidable, par-dessus des plaines et des villages, on entrevoyait une sombre verdure de forêts.

7、    Le soleil commençait à brûler les visages ; la poussière emplissait les yeux continuellement, et, des deux côtés de la route, se développait une campagne interminablement nue, sale et puante. On eût dit qu'une lèpre l'avait ravagée, qui rongeait jusqu'aux maisons, car des squelettes de bâtiments

8、 défoncés et abandonnés, ou bien des petites cabanes inachevées faute de paiement aux entrepreneurs, tendaient leurs quatre murs sans toit.     De loin en loin, poussaient dans le sol stérile de longues cheminées de fabriques, seule végétation de ces champs putrides où la brise du printemps promena

9、it un parfum de pétrole et de schiste mêlé à une autre odeur moins agréable encore.     Enfin, on avait traversé la Seine une seconde fois, et, sur le pont, ç'avait été un ravissement. La rivière éclatait de lumière ; une buée s'en élevait, pompée par le soleil, et l'on éprouvait une quiétude douce

10、 un rafraîchissement bienfaisant à respirer enfin un air plus pur qui n'avait point balayé la fumée noire des usines ou les miasmes des dépotoirs.     Un homme qui passait avait nommé le pays : Bezons.     La voiture s'arrêta, et M. Dufour se mit à lire l'enseigne engageante d'une gargote : Resta

11、urant Poulin, matelotes et fritures, cabinets de société, bosquets et balançoires. " Eh bien, madame Dufour, cela te va-t-il ? Te décideras-tu à la fin ? "     La femme lut à son tour : Restaurant Poulin, matelotes et fritures, cabinets de société, bosquets et balançoires. Puis elle regarda la mais

12、on longuement.     C'était une auberge de campagne, blanche, plantée au bord de la route. Elle montrait, par la porte ouverte, le zinc brillant du comptoir devant lequel se tenaient deux ouvriers endimanchés.     A la fin, Mme Dufour se décida : " Oui, c'est bien, dit-elle ; et puis il y a de la v

13、ue. " La voiture entra dans un vaste terrain planté de grands arbres qui s'étendait derrière l'auberge et qui n'était séparé de la Seine que par le chemin de halage.     Alors on descendit. Le mari sauta le premier, puis ouvrit les bras pour recevoir sa femme. Le marchepied, tenu par deux branches

14、de fer, était très loin, de sorte que, pour l'atteindre, Mme Dufour dut laisser voir le bas d'une jambe dont la finesse primitive disparaissait à présent sous un envahissement de graisse tombant des cuisses.     M. Dufour, que la campagne émoustillait déjà, lui pinça vivement le mollet, puis, la pr

15、enant sous les bras, la déposa lourdement à terre, comme un énorme paquet.     Elle tapa avec la main sa robe de soie pour en faire tomber la poussière, puis regarda l'endroit où elle se trouvait.     C'était une femme de trente-six ans environ, forte en chair, épanouie et réjouissante à voir. Ell

16、e respirait avec peine, étranglée violemment par l'étreinte de son corset trop serré ; et la pression de cette machine rejetait jusque dans son double menton la masse fluctuante de sa poitrine surabondante.     La jeune fille ensuite, posant la main sur l'épaule de son père, sauta légèrement toute

17、seule. Le garçon aux cheveux jaunes était descendu en mettant un pied sur la roue, et il aida M. Dufour à décharger la grand-mère.     Alors on détela le cheval, qui fut attaché à un arbre ; et la voiture tomba sur le nez, les deux brancards à terre. Les hommes, ayant retiré leurs redingotes, se la

18、vèrent les mains dans un seau d'eau, puis rejoignirent leurs dames installées déjà sur les escarpolettes.     Mlle Dufour essayait de se balancer debout, toute seule, sans parvenir à se donner un élan suffisant. C'était une belle fille de dix-huit à vingt ans ; une de ces femmes dont la rencontre d

19、ans la rue vous fouette d'un désir subit, et vous laisse jusqu'à la nuit une inquiétude vague et un soulèvement des sens. Grande, mince de taille et large des hanches, elle avait la peau très brune, les yeux très grands, les cheveux très noirs. Sa robe dessinait nettement les plénitudes fermes de sa

20、 chair qu'accentuaient encore les efforts des reins qu'elle faisait pour s'enlever.     Ses bras tendus tenaient les cordes au-dessus de sa tête, de sorte que sa poitrine se dressait, sans une secousse, à chaque impulsion qu'elle donnait. Son chapeau, emporté par un coup de vent, était tombé derriè

21、re elle ; et l'escarpolette peu à peu se lançait, montrant à chaque retour ses jambes fines jusqu'au genou, et jetant à la figure des deux hommes qui la regardaient en riant, l'air de ses jupes, plus capiteux que les vapeurs du vin.     Assise sur l'autre balançoire, Mme Dufour gémissait d'une faço

22、n monotone et continue : " Cyprien, viens me pousser ; viens donc me pousser, Cyprien ! " A la fin, il y alla et, ayant retroussé les manches de sa chemise, comme avant d'entreprendre un travail, il mit sa femme en mouvement avec une peine infinie.     Cramponnée aux cordes, elle tenait ses jambes

23、droites, pour ne point rencontrer le sol, et elle jouissait d'être étourdie par le va-et-vient de la machine. Ses formes, secouées, tremblotaient continuellement comme de la gelée sur un plat. Mais, comme les élans grandissaient, elle fut prise de vertige et de peur. A chaque descente, elle poussait

24、 un cri perçant qui faisait accourir tous les gamins du pays ; et, là-bas, devant elle, au-dessus de la haie du jardin, elle apercevait vaguement une garniture de têtes polissonnes que des rires faisaient grimacer diversement.     Une servante étant venue, on commanda le déjeuner.     " Une fritur

25、e de Seine, un lapin sauté, une salade et du dessert ", articula Mme Dufour, d'un air important. " Vous apporterez deux litres et une bouteille de bordeaux ", dit son mari. " Nous dînerons sur l'herbe ", ajouta la jeune fille.     La grand-mère, prise de tendresse à la vue du chat de la maison, le

26、poursuivait depuis dix minutes en lui prodiguant inutilement les plus douces appellations. L'animal, intérieurement flatté sans doute de cette attention, se tenait toujours tout près de la main de la bonne femme, sans se laisser atteindre cependant, et faisait tranquillement le tour des arbres, cont

27、re lesquels il se frottait, la queue dressée, avec un petit ronron de plaisir.     " Tiens ! cria tout à coup le jeune homme aux cheveux jaunes qui furetait dans le terrain, en voilà des bateaux qui sont chouette ! " On alla voir. Sous un petit hangar en bois étaient suspendues deux superbes yoles

28、de canotiers, fines et travaillées comme des meubles de luxe. Elles reposaient côte à côte, pareilles à deux grandes filles minces, en leur longueur étroite et reluisante, et donnaient envie de filer sur l'eau par les belles soirées douces ou les claires matinées d'été, de raser les berges fleuries

29、où des arbres entiers trempent leurs branches dans l'eau, où tremblote l'éternel frisson des roseaux et d'où s'envolent, comme des éclairs bleus, de rapides martins-pêcheurs.     Toute la famille, avec respect, les contemplait. " Oh ! ça oui, c'est chouette ", répéta gravement M. Dufour. Et il les

30、détaillait en connaisseur. Il avait canoté, lui aussi, dans son jeune temps, disait-il ; voire même qu'avec ça dans la main - et il faisait le geste de tirer sur les avirons- il se fichait de tout le monde. Il avait rossé en course plus d'un Anglais, jadis, à Joinville ; et il plaisanta sur le mot "

31、 dames ", dont on désigne les deux montants qui retiennent les avirons, disant que les canotiers, et pour cause, ne sortaient jamais sans leurs dames. Il s'échauffait en pérorant et proposait obstinément de parier qu'avec un bateau comme ça, il ferait six lieues à l'heure sans se presser.     " C'e

32、st prêt ", dit la servante qui apparut à l'entrée. On se précipita ; mais voilà qu'à la meilleure place, qu'en son esprit Mme Dufour avait choisie pour s'installer, deux jeunes gens déjeunaient déjà. C'étaient les propriétaires des yoles, sans doute, car ils portaient le costume des canotiers.     

33、Ils étaient étendus sur des chaises, presque couchés. Ils avaient la face noircie par le soleil et la poitrine couverte seulement d'un mince maillot de coton blanc qui laissait passer leurs bras nus, robustes comme ceux des forgerons. C'étaient deux solides gaillards, posant beaucoup pour la vigueur

34、 mais qui montraient en tous leurs mouvements cette grâce élastique des membres qu'on acquiert par l'exercice, si différente de la déformation qu'imprime à l'ouvrier l'effort pénible, toujours le même.     Ils échangèrent rapidement un sourire en voyant la mère, puis un regard en apercevant la fil

35、le. "Donnons notre place, dit l'un, ça nous fera faire connaissance. " L'autre aussitôt se leva et, tenant à la main sa toque mi-partie rouge et mi-partie noire, il offrit chevaleresquement de céder aux dames le seul endroit du jardin où ne tombât point le soleil. On accepta en se confondant en excu

36、ses ; et pour que ce fût plus champêtre, la famille s'installa sur l'herbe sans table ni sièges.     Les deux jeunes gens portèrent leur couvert quelques pas plus loin et se remirent à manger. Leurs bras nus, qu'ils montraient sans cesse, gênaient un peu la jeune fille. Elle affectait même de tourn

37、er la tête et de ne point les remarquer, tandis que Mme Dufour, plus hardie, sollicitée par une curiosité féminine qui était peut-être du désir, les regardait à tout moment, les comparant sans doute avec regret aux laideurs secrètes de son mari.     Elle s'était éboulée sur l'herbe, les jambes plié

38、es à la façon des tailleurs, et elle se trémoussait continuellement, sous prétexte que des fourmis lui étaient entrées quelque part. M. Dufour, rendu maussade par la présence et l'amabilité des étrangers, cherchait une position commode qu'il ne trouva pas du reste, et le jeune homme aux cheveux jaun

39、es mangeait silencieusement comme un ogre.     " Un bien beau temps, monsieur ", dit la grosse dame à l'un des canotiers. Elle voulait être aimable à cause de la place qu'ils avaient cédée. " Oui, madame, répondit-il ; venez- vous souvent à la campagne ?     - Oh ! une fois ou deux par an seulemen

40、t, pour prendre l'air ; et vous, monsieur ?     - J'y viens coucher tous les soirs.     - Ah ! ça doit être bien agréable ?     - Oui, certainement, madame. "     Et il raconta sa vie de chaque jour, poétiquement, de façon à faire vibrer dans le cœur de ces bourgeois privés d'herbe et affamés de

41、 promenades aux champs cet amour bête de la nature qui les hante toute l'année derrière le comptoir de leur boutique.     La jeune fille, émue, leva les yeux et regarda le canotier. M. Dufour parla pour la première fois. " Ça, c'est une vie ", dit-il. Il ajouta : " Encore un peu de lapin, ma bonne.

42、 - Non, merci, mon ami. "     Elle se tourna de nouveau vers les jeunes gens, et montrant leurs bras : " Vous n'avez jamais froid comme ça ? " dit-elle.     Ils se mirent à rire tous les deux, et ils épouvantèrent la famille par le récit de leurs fatigues prodigieuses, de leurs bains pris en sueur

43、 de leurs courses dans le brouillard des nuits ; et ils tapèrent violemment sur leur poitrine pour montrer quel son ça rendait. " Oh ! vous avez l'air solides ", dit le mari qui ne parlait plus du temps où il rossait les Anglais.     La jeune fille les examinait de côté maintenant ; et le garçon a

44、ux cheveux jaunes, ayant bu de travers, toussa éperdument, arrosant la robe en soie cerise de la patronne qui se fâcha et fit apporter de l'eau pour laver les taches.     Cependant, la température devenait terrible. Le fleuve étincelant semblait un foyer de chaleur, et les fumées du vin troublaient

45、 les têtes.     M. Dufour, que secouait un hoquet violent, avait déboutonné son gilet et le haut de son pantalon : tandis que sa femme, prise de suffocations, dégrafait sa robe peu à peu. L'apprenti balançait d'un air gai sa tignasse de lin et se versait à boire coup sur coup. La grand-mère, se sen

46、tant grise, se tenait fort raide et fort digne. Quant à la jeune fille, elle ne laissait rien paraître, son œil seul s'allumait vaguement, et sa peau très brune se colorait aux joues d'une teinte plus rose.     Le café les acheva. On parla de chanter et chacun dit son couplet, que les autres applau

47、dirent avec frénésie. Puis on se leva difficilement, et, pendant que les deux femmes, étourdies, respiraient, les deux hommes, tout à fait pochards, faisaient de la gymnastique. Lourds, flasques, et la figure écarlate, ils se pendaient gauchement aux anneaux sans parvenir à s'élever ; et leurs chemi

48、ses menaçaient continuellement d'évacuer leurs pantalons pour battre au vent comme des étendards.     Cependant les canotiers avaient mis leurs yoles à l'eau, et ils revenaient avec politesse proposer aux dames une promenade sur la rivière.     " Monsieur Dufour, veux-tu ? je t'en prie ! " cria sa

49、 femme. Il la regarda d'un air d'ivrogne, sans comprendre. Alors un canotier s'approcha, deux lignes de pêcheur à la main. L'espérance de prendre du goujon, cet idéal des boutiquiers, alluma les yeux mornes du bonhomme, qui permit tout ce qu'on voulut, et s'installa à l'ombre, sous le pont, les pied

50、s ballants au-dessus du fleuve, à côté du jeune homme aux cheveux jaunes qui s'endormit auprès de lui.     Un des canotiers se dévoua : il prit la mère. " Au petit bois de l'île aux Anglais ! " cria-t- il en s'éloignant.     L'autre yole s'en alla plus doucement. Le rameur regardait tellement sa c

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