收藏 分销(赏)

两小无猜剧本.doc

上传人:xrp****65 文档编号:7022060 上传时间:2024-12-25 格式:DOC 页数:47 大小:135KB
下载 相关 举报
两小无猜剧本.doc_第1页
第1页 / 共47页
两小无猜剧本.doc_第2页
第2页 / 共47页
点击查看更多>>
资源描述
Aime-moi tel que tu es 爱我,不管你是怎样的人 Saint Augustin 圣奥古斯丁 Moi, ton Dieu, je connais ta misère, les combats et les tribulations de ton âme, la faiblesse et les infirmités de ton corps; je sais ta lâcheté, tes péchés, tes défaillances; je te dis quand même: "Donne-moi ton coeur, aime-moi comme tu es." 我了解你的痛苦, 你灵魂的挣扎与煎熬; 你身体的软弱与缺陷; 我知道你的怯懦、你的罪孽、你的失败; 我还是要对你说:"交给我你的心,爱我,不管你是怎样的人"。 Si tu attends d'être un ange pour te livrer à l'amour, tu ne m'aimeras jamais. Même si tu retombes souvent dans ces fautes que tu voudrais ne jamais connaître, même si tu es lâche dans la prati- que de la vertu, je ne te permets pas de ne pas m'aimer. 如果你等待成为天使的一天再去爱, 那你永远都不会爱我。 即使你时常重陷你永远不想承认的过犯, 即使你面对实践和道德如此懦弱, 我也不允许你不爱我。 Aime-moi comme tu es. A chaque instant et dans quelque position que tu te trouves, dans la ferveur ou dans la sécheresse, dans la fidélité ou dans l'infidélité. 爱我,不管你是怎样的人。 每时每刻,无论你身处何地, 无论你是激情满怀、是干渴难忍、或是忠心耿耿。 Aime-moi, tel que tu es. Je veux l'amour de ton coeur indigent. Si, pour m'aimer, tu attends d'être parfait, tu m'aimeras jamais. Mon enfant, laisse-moi t'aimer, je veux ton coeur. Je compte bien te former, mais en attendant, je t'aime comme tu es. Et je souhaite que tu fasses de même; je désire voir, du fond de ta misère, monter l'amour. J'aime en toi jusqu'à ta faiblesse. J'aime l'amour des pauvres. Je veux que, l'indigence, s'élève continûment ce cri : Seigneur, je vous aime. C'est le chant de ton coeur qui m'importe. Qu'ai-je besoin de ta science et de tes talents? Ce ne sont pas des vertus que je te demande, et si je t'en donnais, tu es si faible que bientôt l'amour-propre s'y mêlerait. Ne t'inquiète pas de cela. J'aurais pu te destiner à de grandes choses. Non, tu seras le serviteur inutile; je te prendrai même le peu que tu as, car je t'ai créé pour 1'amour. Aime! L'amour te fera faire tout le reste sans que tu y penses; ne cherche qu'à remplir le moment présent de ton amour. Aujourd'hui je me tiens à la porte de ton coeur comme un mendiant, moi le Seigneur des seigneurs. Je frappe et j'attends, hâte-toi de m'ouvrir, n'allègue pas ta misère. Ton indigence, si tu la connaissais pleinement, tu mourrais de douleur. Cela seul qui pourrait me blesser, ce serait de te voir douter et manquer de confiance. Je veux que tu penses à moi à chaque heure du jour et de la nuit, je ne veux pas que tu poses l'action la plus insignifiante pour un motif autre que l'amour. 我要你每日每夜每时每刻都想着我,你最微小的动作,我也不要它不是出于爱。 Quand il te faudra souffrir, je te donnerai la force. Tu m'as donné l'amour, je te donnerai d'aimer au-delà de ce que tu as pu rêver. Mais souviens toi :"Aime-moi, tel que tu es." N'attends pas d'être un saint pour te livrer à l'amour, sinon tu n'aimeras jamais.  应该受苦的时候,我会给你力量;你给我爱,我会给你远超过你梦想的爱的能力。 但你要记住:"爱我,不管你是怎样的人"; 不要等待成为圣贤再去爱,否则你永远也不会爱。   Le Pont Mirabeau Guillaume Apollinaire Sous le pont Mirabeau coule la Seine Et nos amours Faut-il qu'il m'en souvienne La joie venait toujours après la peine Vienne la nuit sonne l'heure Les jours s'en vont je demeure Les mains dans les mains restons face à face Tandis que sous Le pont de nos bras passe Des éternels regards l'onde si lasse Vienne la nuit sonne l'heure Les jours s'en vont je demeure L'amour s'en va comme cette eau courante L'amour s'en va Comme la vie est lente Et comme l'Ésperance est violente Vienne la nuit sonne l'heure Les jours s'en vont je demeure Passent les jours et passent les semaines Ni temps passé Ni les amours revienne Sous le pont Mirabeau coule la Seine Vienne la nuit sonne l'heure Les jours s'en vont je demeure J’aime bien les osselets, le monopoly强手棋 – mais seulement quand j’tiens la banque. J’adore jouer aux billes – je gagne tout l’temps. Le jeu de l’oie鹅,<口>傻瓜,笨蛋, c’est franchement坦率地讲débile<口>愚蠢的,傻的. Enfin, toujours moins que les dames, le rubis cube, et toutes ces conneries des pays de l’est. Les devinettes, c’est pas mon truc. Yams, crapette, marelle造房子游戏, c’est ok. Oh, chat perché藏猫猫, ça passe encore, mais ça s’arrête là. Mais il y a un jeu auquelà和lequel的结合形式il ne faut jamais jouer – je dis bien JAMAIS, même si即使c’est votre meilleure bon的比较级amie qui vous le propose. C’est de se faire ensevelir埋藏 dans un bloc de béton混凝土.   Ce jeu, il a commencé avec une jolie maison. Et un joli bus sans chauffeur. Une jolie boite et une jolie copine. Non, en vérité, j’me trompe. Le jeu a commencé un petit peu plus tôt. Ca a commencé par un mot dégoûtant, qui veut rien dire du tout. Un mot comme « Métastase ». N’importe quoi ! Pourquoi pas « Mammouth » tant qu’il y est ? En plus, ça fait pleurer Maman. De toute façon, les médecins, ils sont nuls. Ils disent des mots nuls. Ils portent des pantalons nuls. Alors, imaginez ce qu’ils peuvent bien savoir sur les mamans.   Et puis, il y a aussi d’autres mots pas sympas. Comme… Kowalsky. Oh, cherchez pas, ça n’veut rien dire non plus. Kowalsky pue aussi. « Polak ! ». Et puis encore « Sale polak ! ». Sans oublier « Sale polak tête à claque ! ». Et tout ça, ça veut dire à peu près la même chose : ça veut dire « J’ai mal », « J’ai mal comme personne d’autres sur Terre, sur Mars et même sur Altaïr 4 ». * * * * * - Tu l’aimes ? Moi aussi j’la trouve très jolie. Donne. - C’est un trésor ? Un vrai ? - (Oui de la tête) - Waouh ! En tout cas, moi j’ai jamais vu un manège aussi beau, jamais jamais. Si, peut-être sur Altaïr 4, mais pas sur Terre. - Moi si. - Où ? J’veux dire : c’est un vrai manège ? Il existe vraiment ? - Oui mon ange. Là. Et là. - Et là aussi. - Julien, tu prends le bus ce matin, il faut que je reste avec Maman. - Allez, allez, allez mon Juju. File. - Maman, maman, t’as oublié ton trésor. - Garde le. Mon seul trésor, c’est toi. * * * * * - Sophie ? - Tu dois confondre : moi c’est sale polak ! Sophie non plus n’avait plus rien de précieux ce jour-là. Alors, fallait partager. - Tu m’le prêteras de temps en temps ? - Tu la donnes et tu la reprends. Si tu la veux vraiment, prouve le moi. Cap ou pas cap ? C’était parti ! J’crois que c’est comme ça que ça a vraiment commencé. - (Rires) Cap !   - Qu’est-ce que tu as fait ? Qu’est-ce que tu as fait ? Tu vas répondre ? - Rien. Non, j’veux pas qu’il me tape. - Il te tapera pas. Arrêtez, vous avez pas le droit. Arrêtez. - Silence. Je ne t’ai pas parlé. Julien ! Tu réponds ! - Je n’veux pas qu’il me tape. Non ! - Il te tapera pas Julien. Cap ! Tapez pas, vous avez pas le droit, arrêtez ! - Tais toi ! A bien y réfléchir, je crois que Papa n’a jamais beaucoup aimé Sophie. Même au tout début. * * * * * Le jeu s’est mis en place tout seul. Si Sophie avait la boîte, elle pouvait me donner n’importe quel gage. J’le faisais. Et j’regagnais la boîte. Alors, c’était à mon tour de donner un autre gage. Fastoche ! Et super rigolo, non ? Un jeu crétin ? Peut-être bien ! Mais… c’était notre jeu. * * * * * - 8 fois 7 ! 9 fois 7 ! 3 fois 7 ! - 21. - 4 fois 7 ! - 28. - 5 fois 7 ! - 35. - 6 fois 7 ! - 42. - 7 fois 7 ! - 49. * * * * * - Avec la lettre A, citez moi des noms communs commençant par la lettre A… Franck ? - Des animals ! - Des animaux ! Oui Franck : un animal, des animaux ! Qui d’autres ? Sylvie ! - Abricot. - Très bien ! Des abricots ! ABRICOT ! A présent, B ! D’autres noms communs commençant par la lettre B ? Oui, Sophie ! B, comme… ? - B comme bite. B comme brouter, brouter la moquette. Bordel aussi, braguette, bistouquette. - Ca suffit, tais-toi tout de suite ! - Barre toi si tu veux. Boudin baveux. Barre toi boudin baveux. - Mademoiselle se croit drôle ? Je te mets zéro, tu m’entends ? Z, comme zéro ! J’t’envoie chez monsieur le directeur ! On verra si ça te fait rire ! Qu’est-ce que c’est que ça Julien, je peux savoir ce que tu fais ? Allez, chez monsieur le directeur avec Sophie ! * * * * * - Bander. - Quoi ? - B comme bander. - J’sais bien peleton ! * * * * * - La discipline. La discipline est la mère du respect. Et sans respect, c’est la fin de la civilisation. L’aquédiquescence des fondamentaux de la cité, la voyoucratie, quoi ! Et tout cela grâce à qui ? Mais à Mademoiselle Kowalsky ! Et à Monsieur Janvier ! Hein ? - Cap ! - Qu’y a-t-il Monsieur Janvier ? Si vous avez quelque chose d’intéressant à dire, faites moi participer ! Me demande quelle idée fumeuse a pu traverser votre petit cerveau chétif pour vous permettre de m’interrompre ! Vous imaginez sûrement, Monsieur Janvier, que… C’est un super jeu ! Le problème, c’est qu’il fait vraiment rire personne. - Séparez les ! Séparez les Mademoiselle ! Nous séparer. Nous n’avons jamais été cap d’y rêver. * * * * * - Monsieur Janvier, allez donc rejoindre votre camarade Mademoiselle Kowalsky. Les grands esprits se rencontrent, n’est-ce pas ? Est-ce que vous connaissez le sens du mot châtiment ?   - Même si ce n’est pas pour vous, est-ce que vous avez pensé à l’avenir que vous préparez à cette petite ? Si vous ne lui induisez pas un minimum d’éducation… - Bon, ça va ! J’suis pas sa mère ! - La vulgarité粗俗,粗野,粗鲁n’est pas au programme de l’éducation ! Ni de l’académie, Mademoiselle Kowalsky ! Je vais encore une fois de plus convoquer vos parents ! - Nos parents, ils parlent pas Français. Et d’ailleurs [ajœr] by the way « bite », ça veut dire « marteau » hammer en polonais. Autre chose ? Toi ! Tu perds rien pour attendre ! Tu vas être privée de dessert [desεr], privée de sorties, privée de télé ! - T’es privé de bonbons ! T’es privé de bandes dessinées [bddesine]连环画(册) ! Et t’es privé de lumière [lymjεr]日光;灯光dans le couloir走廊,通道. Et maintenant, va chercher ton manteau ! Ca suffit suffire够了maintenant ! - Cool ! Tu fais la même chose ? * * * * * - Tu montes tout de suite dans ta chambre ! Julien ! Tu réveilles [reveje] 弄醒pas Maman妈妈(儿语及对母亲的爱称) ! Julien ! - Maman ! Maman, maman ! On a mangé un truc super à la cantine [ktin] 饭厅. Quoi ? T’es restée au lit toute la journée, veinarde [vεnar, -d] lucky ! On a eu une dictée. Vlan ! - Tu sais… Mon Julien… y a un médecin qui est venu me voir ce matin. - Eh ben, j’ai quand même fait 5 fautes et tu sais quoi ? - Juju, sois gentil. J’voudrais… - J’ai eu 10 en récitation [resitasj]朗诵 ! Tu veux l’entendre ? Oui, j’ai aussi fait une grosse十二打,罗,巨大的bêtise[betiz] 蠢事…   Les amis, c’est comme les lunettes. Ca donne l’air intelligent [tεliʒ], mais ça se raye [rεje] facilement. Et puis, ça fatigue ! Heureusement, des fois, on tombe sur des lunettes vraiment cool ! Moi, j’ai Sophie. * * * * * - A présent, des animaux commençant par A ! - Asticot. - Bien ! - Autruche… - Très bien ! - Abruti, Altaïr 4… - Continue ! - Cap ou pas cap ? - Cap ! - Je te mets zéro, tu m’entends ? Un zéro ! Et on va au bureau de monsieur le directeur ! - La discipline ! Toujours… la discipline ! Je vous avais prévenu pourtant ! Cette fois-ci, c’est l’avertissement. A partir de maintenant, c’est terminé l’Eden. Ca va barder ! Ah… ma petite fille, tu accoucheras dans la douleur, tu porteras des talons aiguilles, tu subiras des régimes, des pillings, des liftings, et en plus… tu feras la proprote ! Et c’est pas fini… Toi, mon petit, je t’ai réservé le pire… Les tourments et les fléaux, les dinosaures, la guerre atomique, Hitler, la guerre, le massacre des Indiens, les machines à lavée, les pétroliers qui font naufrage, la misère… mais surtout, oh oui, surtout : les jolies Mamans, malade ! * * * * * - Et dans cette direction, habitant de Mars : « Allez y voir si vous voulez, ils sont fous tous les deux. » « Beuh, je ne veux pas aller chez les fous », protesta Alice. « Oh, vous ne pouvez pas faire autrement, dit le chat. Nous sommes tous fous ici : je suis fou, vous êtes folle. »  - Maman, tu vas mourir ? - Je ne vais pas bien. - Tu vas mourir ? - Oui. Comme tout le monde. - C’est à cause de moi ? Parce que je fais des bêtises ? Tiens ! T’as qu’à me demander de faire quelque chose d’intelligent ! J’te jure, j’le ferai ! J’suis cap, hein ! - Tais toi. - Pas cap. - Bouche toi les oreilles. Bouche toi les oreilles fort fort fort, encore plus fort. Tu entends comme je t’aime, c’est le plus important. Bon, où on en était ? - Sophie est cap d’écrire avec les dents, c’est important, non ? - (Rires) Oh, on dirait que ni Alice, ni ta mère ne t’intéresse autant que Sophie ! Alors, avec les dents, bien sûr… et comment elle se débrouille avec les oreilles ? - Tu sais le faire toi ? Et jeter les araignées dans la purée ? Et monter à la corde les yeux bandés, t’sais ? - Avec un verre en équilibre sur la tête ? - Pah, j’te crois pas ! - (Toux) Tu t’imagines que t’es le premier à jouer à cap ou pas cap ? Allez, bonne nuit ! (Toux) - Maman ? C’est quoi ce que tu as fait de plus fou ? - Voler. - Voler ? Voler quoi ? - Voler dans le ciel. - Waouh ! Montre, allez, vas y ! Vole, vole ! - Cap… Plus tard. - Quand ? - Bientôt, j’te le promets. (Toux) - Mais quelle idée d’aller lui lire une histoire ! Dans ton état… c’est toi qui devrais être au lit. - Maman ? J’suis encore très puni ? Ou juste un peu ? J’veux dire, euh, Sophie m’a invité à… le mariage de… sa sœur… - Nan ! * * * * * - Moche sa robe ! - Moche son mec ! - En tout cas, si moi j’me marie un jour… - Tu diras non au curé, cap ou pas cap ? - Cap bien sûr ! - Qu’est-ce que tu feras quand tu seras grand ? - Tyran ! - Ouais, tyran ?! Avec tout un peuple asservi ? - Parfaitement. Avec un arène, des esclaves. Je les torturai chaque jeudi matin ! - Cool ! - Et toi ? - Ben… je… Non, c’est idiot. - Allez, dis le ! - Non, ça va pas te plaire. - Moi j’te le dis, raconte ! - J’aimerais être un flanc. Un flanc aux abricots. Nature, tiens. Un peu tiède dans une boulangerie, en vitrine. - Un flanc ?! Comme le gâteau ? - Ben évidemment, qu’est-ce que tu veux que ce soit d’autre ? Y en n’a pas 46 000 des flancs ! - Flanc… Flanc… Ah mais ouais, un flanc ! Mais ouais, mais c’est super génial ! - Bon, cap ou pas cap ? - Caaap ! - Mouais ! - Hmm, quoi « mouais » ? - C’est juste à cause de ça que les hommes sont mieux payés que les femmes ? - Aux bons ouvriers, les bons outils. - A mon tour ! Montre moi ta zizette ! - C’est pas du jeu ! C’était MON gage ! T’as pas le droit de copier ! - Cap ou pas cap ? - Cap. - C’est tout ? Mais on voit rien du tout ! - Tu vois que les femmes sont plus malignes que les hommes ! C’est tellement plus simple d’être amis… Tire la nappe ! - Cap ! - A toi ! Plus fort ! - Cap !   - Julien ! J’te cherchais partout ! - Oh, oui, le prof de violon était malade, et… - On verra ça plus tard, allez, viens. * * * * * - Maman ! - Mon Julien, mon grand garçon. - Tu vas guérir, hein ? Tu vas guérir. Cap ou pas cap ? - C’est pas toi qu’a la boîte mon coeur. C’est pas à toi de faire les gages. - Ben j’vais la chercher ! - Laisse Julie
展开阅读全文

开通  VIP会员、SVIP会员  优惠大
下载10份以上建议开通VIP会员
下载20份以上建议开通SVIP会员


开通VIP      成为共赢上传
相似文档                                   自信AI助手自信AI助手

当前位置:首页 > 百科休闲 > 其他

移动网页_全站_页脚广告1

关于我们      便捷服务       自信AI       AI导航        抽奖活动

©2010-2025 宁波自信网络信息技术有限公司  版权所有

客服电话:4009-655-100  投诉/维权电话:18658249818

gongan.png浙公网安备33021202000488号   

icp.png浙ICP备2021020529号-1  |  浙B2-20240490  

关注我们 :微信公众号    抖音    微博    LOFTER 

客服